Les boîtes de Marc Giai-Miniet que j'ai découvertes à la Galerie Lefor Openo rue Mazarine à Paris il y a quelques années me fascinent toujours autant. Impossible de rester indifférent devant elles, elles attirent, elles dérangent, on s'éloigne et on y revient. "C’est un travail, parallèle à ma peinture, qui représente en général des bibliothèques dégradées, précise le peintre Marc Giai-Miniet, comme une métaphore de la condition humaine, de l’esprit aux égouts. Tout ce qui touche le ciel, c'est le blanc, c'est la spiritualité. Plus on descend, plus on va vers l'homme, vers l'animalité, vers les choses impures et les égouts."
Je vous donne rendez-vous sur son site extrêmement bien construit qui m'a renseignée sur son actualité et qui expose le travail numérique de Sylvie Giai-Miniet à partir des boîtes de Marc Giai-Miniet, le résultat n'en est que plus "kafkaïen", ne ratez pas "L'embarquement".
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